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Et je suis jusqu'à la folie.

Poème sur les enfants dans les pays en guerre.
DM de français ; Octobre-Novembre 2003

Adultes, regardez ces enfants
Colombiens, sri Lankais ou afghans
Capturés a la sortie des écoles, enlevés,
Après avoir vu leurs parents se faire tuer.

Voyez, ces enfants sont maintenant
Soldats, apprenant a faire couler le sang
On leur fait oublier leurs jeux passés
Maintenant ils sont forcés a travailler.

Entendez ces fillettes sur la chaussée pleurant
Tenant entre leurs bras fragiles un enfant
Attendant que vienne le client
Qui pour son plaisir leur donnera de l'argent.

Et si après la guerre ils sont encore en vie
Comment survivront-ils au froid, a la pénurie ?
S'ils parviennent a retrouver leurs parents
Seront-ils de nouveau aimés, comme avant ?

Dans des taudis a l'écart ils vivront
Tels des morts vivants ils erreront
Ils n'oublieront jamais leur passé
En voyant leurs pauvres corps mutilés.

Mais leurs bourreaux, ces monstres sanguinaires
Eux, retrouveront une vie ordinaire
Trouveront une femme, fonderont un foyer
Et peu a peu oublieront leurs pêchés.

Ecrit par Lissadell, le Mardi 2 Mars 2004, 18:31 dans la rubrique "Waves".



Commentaires :

  admiratrice
26-03-04
à 15:26

pour vous l'artiste

j ia mis admiratrice par ce que des gens qui pense ainsi il y en a de moin en moin sur terre et donc je vous admire votre poeme et une oeuvre dommage que l on ne trouve pas des oeuvre telle que celle la dans dans des musés je vous laisse avec un pincement au coeur



Admiratrice

  Lissadell
Lissadell
26-03-04
à 18:15

Re: pour vous l'artiste

Je suis très touchée par votre commentaire, et je voudrais simplement vous dire merci.


  homme-de-l-ombre
homme-de-l-ombre
27-03-04
à 14:19

Coucou toi

Regarde ses enfants qui sont forgé par la haine tuer de toute innocence. il on déjà perdu leurs rêves. Il frappe comme on a frappé sur eux. Nous ce que l'on peut faire c'est d’essayer non plus de les raisonner mais d’arrêter le massacre. Et rependre de l'amour sur tous les victime et les survivants. Un sourire au nouveau jours qui se lève... est une petite chose mais c'est avec de petite chose qu'on fait les plus grande. Tu sais ils ont toujours un coeur sauf qui les on lapidé de coup. Décrire sont malheur est une chose, embellir les autre de bonheur en est une autre, chacun sa capacité a enduré les souffrance, chacun ça force. Tu sais il faut pouvoir apercevoir les mauvais chose comme les plus belle. La vie est précieuse...

 


  Lissadell
Lissadell
29-03-04
à 20:18

Re:

Je plains ces enfants mais jamais ne les juge. Ils ne sont pas responsables, ils ne savent même plus ce qu'ils font. De nos pays riches d'Europe, nous ne trouvons qu'à faire des poèmes, tandis qu'il faudrait agir pour les aider. Mais jamais nous ne ressentirons leurs souffrances, jamais ne comprendront leurs pensées.
Comblée par la vie - trop sûrement - je ne sais pas l'aimer. Mais je comprends la valeur importante qu'elle prend aux yeux de ses enfants...Et je les soutiens en prière silencieuse, en attendant le moment ou je pourrai faire plus.

Mais je veux juste te préciser que je l'ai eu en dm de français, et que je devais respecter un sujet précis...




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